René Char
Il est né en 1907 dans le Vaucluse à l'Isle-sur-la-Sorgue. Son enfance dans la grande maison familial du pays des Nevons reste un refuge et une source d'inspiration poétique inépuisable pour cet adolescent recherchant par tous les moyens la liberté.
La mort de son père et la perte de sa jeunesse donnent à ses poèmes un aspect encore plus émouvant et leur donne une beauté douloureuse.
Lorsqu'il rencontre Eluard en 1929 il choisit de partir pour Paris où il découvrira alors Aragon, Breton ou encore le groupe des surréalistes qu'il adhèrera pour finalement s'en éloigner en 1934.
Pendant la Seconde Guerre Mondiale, René Char ne pourra se contenter d'observer la réalité et voudra agir. Il participera donc vivement à la résistance sous le nom de capitaine Alexandre. Cette implication influencera ses écrits les rendant un peu plus réalistes.
Il mourra le 19 février 1988 à Paris.
La mort de son père et la perte de sa jeunesse donnent à ses poèmes un aspect encore plus émouvant et leur donne une beauté douloureuse.
Lorsqu'il rencontre Eluard en 1929 il choisit de partir pour Paris où il découvrira alors Aragon, Breton ou encore le groupe des surréalistes qu'il adhèrera pour finalement s'en éloigner en 1934.
Pendant la Seconde Guerre Mondiale, René Char ne pourra se contenter d'observer la réalité et voudra agir. Il participera donc vivement à la résistance sous le nom de capitaine Alexandre. Cette implication influencera ses écrits les rendant un peu plus réalistes.
Il mourra le 19 février 1988 à Paris.
Paul Eluard
Il est né en 1895 sous le nom d'Eugène Grindel à Saint-Denis dans la banlieue parisienne. Atteint de la tuberculose il sera hospitalisé en Suisse en 1912. Il découvre alors l'écriture et la poésie qu'il approfondira un peu plus quand il rencontrera Gala, une jeune Russe qu'il épousera en 1917.
Entre temps il partira sur le front mais sera vite renvoyer chez lui à cause d'une bronchite aiguë.
Les moments traumatisants qu'il a vécu au combat le marqueront à vie et l'inspireront à écrire Poèmes pour la paix, publié en 1918. Il sera ensuite repéré par Jean Paulhan, il rencontre alors l'avant garde littéraire et artistique au côté des plus grand comme Breton, Aragon, Dali ou encore Picasso. Sa vie conjugale difficile et ses problème de santé l'inspireront énormément dans l'écriture de ses œuvres. Il sera d'ailleurs très affecté par le départ de Gala, son épouse, qui le quitte pour Dali en 1929. Mais il retrouvera vite le bonheur aux côtés de Maria Benz qu'il épousera en 1944. Le 1er Septembre 1939 il est mobilisé dans le Loiret comme lieutenant de l'intendance. Il intervient auprès du président de l'époque pour libérer le peintre Max Ernst qui avait alterné en étant soit disant un ressortissant allemand. Il sera démobilisé en 1940 et l'exode le forcera à aller dans le Tarn. Mais il rejoint bien vite son épouse à Paris. Il entra dans la résistance en 1942 et rencontra alors le fondateur des Éditions de Minuit Pierre de Lescure avec qui il collaborera. Le recueil « Poésie et Vérité » sortira en 1942 clandestinement sans visa de censure et annonce le point de vue d'Eluard qui est entièrement contre le nazisme et la collaboration. Le plus célèbre, « Liberté » fut traduit en 10 langues et parachuté par la Royal Air Force au dessus des territoires occupés.
Il continue alors le combat à la plume avec « Sept Poèmes d'Amour en Guerre » en 1943 et publie « Au rendez-vous allemand » en 1945 qui est uniquement composé de poème clandestins qu'il a écrit sous les pseudonymes Jean du Haut ou Maurice Hervent.
Son nom est à présent synonyme de fièvre révolutionnaire et fait parti des poètes les plus marquants du XX siècle.
Entre temps il partira sur le front mais sera vite renvoyer chez lui à cause d'une bronchite aiguë.
Les moments traumatisants qu'il a vécu au combat le marqueront à vie et l'inspireront à écrire Poèmes pour la paix, publié en 1918. Il sera ensuite repéré par Jean Paulhan, il rencontre alors l'avant garde littéraire et artistique au côté des plus grand comme Breton, Aragon, Dali ou encore Picasso. Sa vie conjugale difficile et ses problème de santé l'inspireront énormément dans l'écriture de ses œuvres. Il sera d'ailleurs très affecté par le départ de Gala, son épouse, qui le quitte pour Dali en 1929. Mais il retrouvera vite le bonheur aux côtés de Maria Benz qu'il épousera en 1944. Le 1er Septembre 1939 il est mobilisé dans le Loiret comme lieutenant de l'intendance. Il intervient auprès du président de l'époque pour libérer le peintre Max Ernst qui avait alterné en étant soit disant un ressortissant allemand. Il sera démobilisé en 1940 et l'exode le forcera à aller dans le Tarn. Mais il rejoint bien vite son épouse à Paris. Il entra dans la résistance en 1942 et rencontra alors le fondateur des Éditions de Minuit Pierre de Lescure avec qui il collaborera. Le recueil « Poésie et Vérité » sortira en 1942 clandestinement sans visa de censure et annonce le point de vue d'Eluard qui est entièrement contre le nazisme et la collaboration. Le plus célèbre, « Liberté » fut traduit en 10 langues et parachuté par la Royal Air Force au dessus des territoires occupés.
Il continue alors le combat à la plume avec « Sept Poèmes d'Amour en Guerre » en 1943 et publie « Au rendez-vous allemand » en 1945 qui est uniquement composé de poème clandestins qu'il a écrit sous les pseudonymes Jean du Haut ou Maurice Hervent.
Son nom est à présent synonyme de fièvre révolutionnaire et fait parti des poètes les plus marquants du XX siècle.
Louis Aragon
Louis Aragon, de son vrai nom Louis Andrieux, est un poète, romancier et journaliste, né le 3 octobre 1897 à Neuilly-sur-Seine. Il a reprit ses études de médecine à 20 ans où il rencontrera André Breton, tout deux grands admirateurs de Mallarmé, Appolinaire et Rimbaud. Il a fait parti des troupes ayant combattu sur le front des Ardennes en juin 1918. Il en reviendra décoré de la croix de guerre. La prise de la France le conduira jusqu'à Périgueux. Il est capturé mais réussi tout de même à s'échapper et se réfugie dans une zone libre où il fera la connaissance de Pierre Seghers en 1940 et de Henri Matisse en 1941. Il participe à la résistance avec Elsa Triolet en créant le Commité des écrivains de la zone sud et Le Dôme en armes. mais ses poèmes sont aussi, pour lui, un énorme moyen de s'exprimer. il les publie en clandestineté où l'amour de la femme est accompagnée de l'amour de la patrie.
Madeleine Riffaud
Née le 23 août 1924. A 18 ans, elle a été officier FTP(Francs-tireurs et partisans). Elle a abattu des chefs miliciens et beaucoup d'officiers allemands. Elle a été arrêtée, torturée et condamnée à mort mais s'évade et y échappe par miracle. Ses poèmes apparaissent dans le recueil ''Le point Fermé'' préfacé par Eluard. Après la guerre elle devient reporter et se trouvent partout où les femmes et les hommes se battent pour l'indépendance.
Robert Desnos
IL est né le 14 juillet 1900 à Paris. Il baignera toute son enfance dans les livres de Victor Hugo et de Charles Baudelaire. Ses premiers poèmes furent publiés dans Tribune des jeunes en 1918. Ses écrits lui permettront d'obtenir un poste de journaliste à Paris-soir puis Le soir , Paris-Matinal et Merle. Il refuse de prendre un quelconque parti politique et particulièrement le parti communiste ''pour garder sa liberté d'esprit''. Mais il était du mouvement antifasciste. Après la défaite de la politique française, les peu d'interventions radiophoniques qu'il faisait, diminuèrent un peu plus car chacune de ses paroles étaient surveillées. Néanmoins il continuera à publier des poèmes tout en faisant attention, défiant ainsi la censure. Le poème ''Choisir la liberté''est extrait du livre '' L'honneur des poètes'' publié le 14 juillet 1943 qui diffuse au grand jour des poèmes de résistant regroupés par Paul Eluard. ''Agir'' le réseau de résistance qu'il rejoint en 1942, lui fait prendre des risques. Le fait qu'il fasse parti de la radio qu'utilise l'occupant lui permet d'avoir une couverture . Le 22 février 1944, Robert Desnos se fait arrêté par la Guestapo. Avant d'être déporté dans plusieurs camps avant avril 1945 il remet ''Le Maréchal Ducono'' à un de ses ami qui le feras publié par la suite. Il finira par rester dans un camp de concentration: ''Theresienstadt à Terezin où il mourra de manque de nourriture et du typhus le 8 juin 1945.
Marianne Cohn
Née le 17 septembre 1922 . Elle est une jeune résistante membre des MJS (mouvement de la jeunesse sioniste). Après avoir été dénonce, elle est emprisonnée par les allemands alors qu'elle conduisait un groupe d'enfant en Suisse. Elle a refusée d'être libérée sans les enfants et a pris soin d'eux en prison. On a retrouve son corps peu après la libération. Elle a été tuée à coup de bottes et de pelles le 8 juillet 1944 à 23 ans en haute Savoie.
Maurice Druon
Maurice Druon est un
écrivain et un homme politique français. Il s'engage dans la
résistance à Londres en 1943. Il écrit avec son oncle Joseph
Kessel le ''Chant des partisans''. Anna Marly met ensuite très vite
ce texte en chanson.
Joseph Kessel
En mai 1943 l'oncle de Maurice duron, grand reporter, aventurier et romancier, décide avec l'aide de son neveu de composer dans un pub anglais, le White Swan, "Le chant des partisans" avec les paroles en français. Ce chant premièrement poème deviendra bien vite la chanson de ralliement des partisans français.
Emmanuel D'Astier de la Vigerie
Il prend le pseudonyme de ''Bernard'' dans la résistance. Il crée le groupe ''Libération zone sud''. Il se reconverti en suite dans le journalisme et devient vite reconnu pour ce métier. Il se rend pour la première fois a Londres en 1942 mais c'est au cour de son second voyage en 1943 qu'il écrit la complainte du partisan. Il y retranscrit ses souffrances pendant la guerre.